Vous méritez de bien manger

Vous méritez de bien manger

Beaucoup de gens vous donnent l’impression de vouloir bien manger, mais tendent en définitive à retomber dans le panneau des habitudes destructives. Parfois ça peut sembler déconcertant. La vérité est que quelque soit le degré de notre bon vouloir, il est difficile, voire impossible, d’y parvenir. Pour atteindre ce but, nous devons avoir l’intime conviction que nous méritons que l’on prenne soin de nous. Reconnaissez que vous méritez de bien manger.

Eliminer les doutes

Que vous preniez soin de vous même ou que ce soit quelqu’un d’autre qui s’en charge, vous méritez de bien manger. Nous avons tous nos doutes qui surgissent quelques fois, certains sont profondément ancrés en nous. Ces doutes nous poussent à agir d’une façon destructive, que ce soit d’une manière volontaire ou involontaire. Cependant, si nous manifestons le désir de reconnaitre que nos propres perceptions sont difformes, nous serons capables de prendre les mesures correctives nécessaires. Et petit à petit, nous guérissons les morceaux brisées en nous qui nous empêchent de croire que nous valons la peine que l’on prenne soin de nous.

Se faire accompagner ?

Cependant, rien de ce qui est blessé à l’intérieur de nous ne l’est forcément pour toujours. Nous pouvons faire ce qu’il faut pour y remédier. Même si parfois cela peut sembler assez difficile. Aussi, vous devez vous inscrire dans une démarche réelle et sérieuse d’autoguérison avant  d’adopter une alimentation saine, surtout si la nourriture fait partie de vos stratagèmes autopunitifs.

En outre, vous pouvez, si vous souhaitez améliorer votre estime de soi, recourir à une personne qualifiée pour vous écouter. Ainsi vous pourrez identifier les pensées et les attitudes autodestructrices qui vous tirent vers l’arrière. Et peu à peu, vous croirez au fait que vous méritez un avenir empli d’une alimentation saine et débarrassé des maladies engendrées par la malbouffe facile d’accès et en abondance.

Et la méditation ?

Vous pouvez aussi, pratiquer d’autres  types d’estime de soi, en usant de méthodes telles que la méditation consciente et l’écriture. En tenant un journal des gratitudes, vous noterez les éléments de votre vie pour lesquels vous êtes reconnaissant. Cela vous permettra de commencer à avoir une vision plus juste de votre vie. Une fois que vous serez en mesure de voir les choses positives de votre vie, il vous sera beaucoup plus facile de voir les attitudes positives et les belles choses qui vous caractérisent vous, et les personnes qui sont importantes pour vous. En sus de tout cela, développer une telle connexion est un élément essentiel qui vous apprendra à croire que vous méritez vraiment de manger des aliments sains et nourrissants.

Vous pouvez aussi recourir à la méditation pour vous concentrer sur vous même et utiliser la pleine conscience méditative comme une façon de voir les opportunités et la beauté à chaque lever du soleil. La méditation consciente est un bon moyen de se rapprocher de son moi aussi bien intérieur qu’extérieur et de mettre le doigt sur nos vrais impératifs, tel que le besoin de se nourrir, de jouir d’une bonne santé et de vivre en sécurité.

Reconnectez votre corps à votre tête !

Toutefois si vous faites le choix de favoriser la connexion corps-esprit, cela vous aidera sans aucun doute à apprendre à vous valoriser d’une façon plus profonde. Lorsque vous prenez conscience de votre valeur personnelle, vos décisions seront fondées sur des facteurs qui contribuent vraiment à votre épanouissement et qui permettent à votre corps de respirer la santé !

Le pouvoir guérisseur de l’esprit

Le pouvoir guérisseur de l’esprit

Le pouvoir guérisseur de l’esprit est le thème de ma prochaine conférence qui aura lieu sur zoom le 7 juilet 2022 à 20h.

Peut-être ne le savez vous pas, mais j’ai été très gravement malade. Un beau matin en 2009, j’ai commencé à avoir des problèmes respiratoires. Ce qui ressemblait, au début, à une bronchite asthmatiforme chronique, a viré à la pneumonie. Enfin, c’est ce que le médecin et le pneumologue ont cru. La situation est devenue intenable en 2014. Mais, il faudra encore 6 mois pour découvrir que si je me noyais la nuit, si je ne pouvais plus respirer lorsque je marchais ou faisais un effort, ce n’était pas à cause d’une bactérie ou d’un virus, mais d’un champignon…

Un champignon pour compagnon de vie !

Six mois encore ! Longs, douloureux ponctués d’interdictions, de restrictions et de phrases que nous connaissons tous lorsque la maladie nous terrasse : “fais un effort”, “arrête de t’écouter”, “on ne fait plus rien, tu es tout le temps fatiguée”. Et pour cause, je n’avais pas la force de me projeter dans un avenir que je ne voyais que ponctué de quintes de toux m’obligeant parfois à m’asseoir parterre, peu importe l’endroit où je me trouvais. Sans compter toutes les fois, où assise à mon bureau, je finissais par vomir tout simplement dans ma poubelle de bureau ! Y compris ce fameux jour où j’avais une stagiaire, Audrey, en face de moi.

Mais, la découverte de l’origine physique de mes malheurs n’a pas résolu le problème. Non ! S’en est suivi 18 mois de traitement, à raison de 3 fois par semaine à l’hôpital. Aussi longs qu’inefficaces. Rien ne semblait venir à bout du champignon qui s’étendait chaque jour un peu plus. Jusqu’au jour où, le pneumologue a baissé les bras “le traitement n’agit pas, il faut procéder à l’abblation du poumon”.

Vous n’avez pas le choix….

Ablation du poumon ! Non ! Je venais d’avoir 46 ans ! “On vit très bien avec un seul poumon”. Ah oui ?!

Mon monde s’est écroulé ! J’ai trouvé la force de dire “non, il faut que je réfléchisse, que je prenne un autre avis”.

Et la réponse quasi immédiate, culpabilisante “mais ma petite dame (OH ! je fais 1.57 m, d’accord, mais quand même), vous n’avez pas le choix. C’est ça, ou il va falloir que votre fille apprenne à se passer de vous.”

J’étais anéantie. Il fallait que je rentre à la maison, que je garde ça pour moi. Pas facile avec ma fille à la maison. D’autant qu’elle fait très attention aux signes de d’essoufflement ou de difficultés respiratoires, puisque 8 mois avant, je n’ai pas pu l’accompagner aux championnats de France : j’étais à l’hôpital pour une ponction pleurale. Par contre, j’étais redevenue célibataire 6 mois avant, puisque j’étais trop fatiguée pour sortir et faire la fête…. donc pas d’efforts à faire de ce côté là.

Alors, je n’ai rien laissé paraître. J’ai pris du temps pour réfléchir. J’avais tout en main et je ne le voyais pas.

Quand tu ne veux pas entendre….

J’avais passé un certificat en aromathérapie en 2005, juste avant d’être promue directrice d’EHPAD, puis en 2011 un certificat en naturopathie. Mais j’étais finalement bien au chaud, dans mon EHPAD. J’avais un salaire qui me permettait de vivre plus que décemment. Je pouvais permettre à ma fille de s’adonner à sa passion : le patinage artistique. Je pouvais l’envoyer en stage tous les ans et je ne me demandais pas comment j’allais payer les patins à chaque rentrée ; et oui, les pieds des enfants grandissent !

Je n’avais pas compris, entendu,  l’appel vers plus de naturel, de bien-être. Cette petite phrase assassine du pneumologue (je ne lui en veux plus) a eu l’effet d’un électrochoc et d’un questionnement : comment je me sors de ça ?

Réfléchis, Karine, réfléchis !

J’ai repris tout ce que je savais, tout ce que j’avais appris. Je n’avais plus d’objectifs, de perspectives d’avenir et bien j’allais en trouver. Alors, J’ai rédigé ma feuille de route, mon plan de guérison, comme on élabore un plan de bataille.

C’est l’intégralité de ce combat que je vais vous raconter lors de la conférence. Mais pas à la manière d’un long déroulé de ma vie au quotidien. Non ! Je vais vous parler du pouvoir guérisseur de l’esprit et des étapes que j’ai dues franchir.

C’est ce que j’appelle aussi la voie de la guérison en référence à mon programme d’accompagnement.

Vous êtes curieux ? Vous voulez en savoir d’avantage ? Je vous donne rendez-vous le 7 juillet 2022 à 20h pour une conférence sur le sujet. Il vous suffit de vous inscrire.

 

 

 

 

 

La compensation alimentaire : un réflexe inculqué par les mamans ?

La compensation alimentaire : un réflexe inculqué par les mamans ?

La compensation alimentaire, c’est le fait de se précipiter dans le réfrigérateur ou les placards pour trouver quelque chose à manger. Et cette habitude est prise très très tôt.

Une habitude d’enfant

Je me souviens lorsque ma fille était tout bébé, je ne savais pas toujours pourquoi elle pleurait, coliques, chaud, froid, tensions, stress…. Le problème c’est que le bébé ne connait que deux manières de nous faire connaître son état : je vais bien et dans ce cas, je souris ou je dors ; J’ai un truc qui ne va pas, je pleure, et ce, même si c’est juste parce que je me sens un peu seul et que j’ai juste besoin d’un petit câlin.

Oui, mais lorsque les pleurs ne signifient pas je-veux-juste-un-petit-calin….. Et bien parfois on se rabat sur le sein ou le biberon. Et on conditionne nos enfants à compenser une émotion par la nourriture.

C’est ce qui vient d’arriver à une de mes consultantes. « je me suis prise le bec avec un ami, j’ai mangé. »
Et quand je lui ai dit qu’elle aurait aussi pu aller faire un tour, s’aérer et respirer à fond pour faire tomber le stress. Elle m’a répondu ne pas y avoir pensé. C’est normal !

La méthode ARC

Il est important de supprimer ce conditionnement et d’adopter une autre attitude. Lorsque nous sommes face à une situation compliquée qui génère des tensions, des émotions, il est important de se recentrer.

J’utilise la méthode ARC : arrêter, regarder, choisir.

  • Arrête ce que tu fais, prends du recul et permet à la créativité de se manifester.
  • Regarde ce qui se passe. Deviens complètement conscient du conflit et de tes sentiments à propos de celui-ci.
  • Choisis ce que tu veux dans cette situation et comment tu veux agir, ta façon d’être. Choisis-le formellement !

Pas facile me direz-vous. C’est vrai. Mais si vous n’essayez pas, vous ne saurez pas si vous pouvez y arriver. Cela fait parti des enseignements de “Vivez Votre Vision“. On en parle si vous le souhaitez.

Prenez soin de vous !

Be happy !

Be happy !

Be Happy !  Ou comment être toujours heureux avec la pensée positive !

Vous vous souvenez, il y avait une pub : « Avec C, je positive ! »
J’ai fait une petite recherche hyper rapide, parce que je n’avais pas fini de taper le nom de l’enseigne que j’avais déjà ma réponse. C’était en 1988. La pensée positive existait déjà. Quand je dis « existait déjà » entendez, qu’elle a toujours existé. C’est un état d’esprit !  Mais là, une enseigne de supermarchés l’utilisait pour son marketing de vente. Et elle ne s’est pas arrêtée là. En 2015 elle a remis ça avec un néologisme « j’optimisme ».

C’est chouette !
En fait pas tellement, parce que, si on analyse un tant soit peu la chose, ces campagnes ont conduit à l’augmentation de la consommation sans aucune satisfaction de la part des consommateurs. Côté pensée positive, c’est donc un échec.

Et aujourd’hui, lorsqu’un thérapeute commence par vous dire qu’il faut que vous changiez votre état d’esprit, pour voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide, vous vous fermez. Lorsqu’on vous parle de positivisme cela vous renvoie à l’insatisfaction permanente, voire à la frustration, liée à la consommation de masse.

Et pourtant, je vais insister sur le fait que vos pensées, votre état d’esprit, influent sur votre santé, l’évolution des pathologies et votre état psychologique. C’est pourquoi, je ne fais pas l’impasse sur cet aspect là au cours de mes consultations.

Prenez soin de vous !